Stephen Hawking está promovendo cadeira de rodas da Intel com sistema ACAT integrado (Foto: Reprodução/YouTube)
A Intel passou a oferecer, desde a terça-feira (18), o software que produziu para que o famoso cientista Stephen Hawking pudesse se comunicar por voz com computadores. Disponível para Windows, o recurso pode ser baixado gratuitamente por usuários comuns, assim como desenvolvedores, que ganharam acesso ao kit, que agora é open source. Para usar, é preciso apenas ter uma webcam.
Chamada ACAT (Assistive Context-Aware Toolkit), a plataforma pretende fazer com que os computadores sejam mais acessíveis a pessoas com deficiência. Com o código liberado, os desenvolvedores poderão criar diversas alternativas e extensões para o sistema da Intel.
“A meta de tornar esse projeto open source é permitir que sejam criadas soluções com facilidade. Trabalhamos anos para isso. Nossa visão é fazer com que qualquer desenvolvedor ou pesquisador construa em cima disso, sem precisar reinventar a roda para tal”, afirmou Lama Nachman, líder do programa.
Para os casos de pessoas com deficiências similares as de Hawking, que tem esclerose lateral amiotrófica, o software identifica comandos visuais para emitir ordens à máquina. No caso do físico, ele rastreia os movimentos da bochecha. Mas há ainda muitas possibilidades para serem trabalhadas.
A Intel enviou manuais detalhados de como usar o código e o software. Equipes estão testando-o em diversos pacientes e vão fazer parcerias com universidades para popularizar os sistemas.
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Elles prennent l'exemple d'une mère accusée, malgré les diagnostics médicaux, de provoquer les troubles de ses enfants pour «toucher les allocations handicap» et «attirer l’attention sur elle».
Une centaine d’associations dénoncent «des placements abusifs» de jeunes autistes par décision de justice, suite à une procédure de l’Aide sociale à l’enfance (ASE). Elles citent en exemple le cas d’une mère à qui ses trois enfants doivent être retirés.
Le conseil départemental de l’Isère«s’apprête à séparer et placer une fratrie de trois enfants atteints de troubles envahissants du développement (une forme d’autisme)», selon le communiqué de ces 127 associations de familles de personnes autistes, dont Autisme France, Collectif Egalited, Sésame Autisme ou Collectif Autisme. Le juge, d’après le communiqué, nie les diagnostics et la mère est accusée de provoquer les troubles de ses enfants pour «toucher les allocations handicap» et «attirer l’attention sur elle».
Pour sa part, le médecin coordonnateur du centre de ressources autisme Rhône-Alpes, le Dr Sandrine Sonié, citée dans le communiqué, met en garde contre «les risques de traumatisme psychique et d’aggravation des troubles du développement dans une structure collective et non spécialisée». Il s’agit là, s’insurgent les associations, «de l’application d’une mesure dont tout le monde sait qu’elle sera destructrice pour les enfants».
En attendant l’appel, une solution provisoire existe pourtant, souligne le communiqué : un placement familial chez les grands-parents. Mais le conseil départemental n’a pas donné suite à cette requête.
Autisme France a réalisé récemment un rapport pour dénoncer les«dysfonctionnements de l’Aide sociale à l’enfance, portant atteinte aux libertés et aux droits de l’enfant et de sa famille», des «dérapages qui ont déjà fait l’objet de plusieurs rapports officiels depuis 15 ans». D’après les associations, 67% des parents d’enfants «menacés d’un enfermement injustifié» déclarent avoir subi des pressions en raison de leur refus de voir des traitements inadaptés appliqués à leurs enfants.